Si vous allez vous lancer dans les paris sportifs, vous n’allez sûrement pas y aller à l’aveuglette. Il convient de vous renseigner un peu avant. Vous allez en apprendre un maximum sur les pratiques des paris sportifs et essayer de tout mettre en œuvre pourgagner le plus possible avec un minimum de pertes. Saviez-vous que vous pouvez faire un pari et ne pas le gagner sans toutefois le perdre ? C’est là qu’entre en scène le pari sportif à handicap et nous vous en dévoilons tous les secrets qui l’entourent.

Que veut dire un pari sportif à handicap ?

Le pari sportif à handicap pourrait bien être la solution pour limiter les pertes lors d’un pari. Il ne faut surtout pas se fier à son nom pour le comprendre : vous vous retrouveriez à des années lumières de la vérité. En tant que novice ou débutant, le mot « handicap » pour vous rendre confus et vous faire imaginer des personnes à handicap physique ou psychique sur un terrain ou bien vous vous dites peut être que le pari handicap est une catégorie de pari spécifiquement dédié aux personnes sujettes à un handicap. Rien de tout cela. L’explication est moins discriminatoire et plus simple que ça. Un pari sportif handicap classique désigne une façon plus ou moins extraordinaire de parier : cela consiste à pénaliser le favori et à avantager son adversaire. Pénaliser/handicaper le potentiel gagnant vous permettra de faire un pari sur un match qui parait joué d’avance. Vous pourrez donc parier avec une cote plus élevée. Cette méthode de pari n’est pas connue de tous les parieurs, seulement les parieurs expérimentés et échafaudés parient de cette manière pour maximiser les gains et minimiser les pertes en toute légalité.

Pari sportif à handicap : comment ça fonctionne ?

Gardez à l’esprit que même avec cette méthode, l’issue finale n’est jamais jouée d’avance. Alors, quand pouvez-vous utiliser la méthode du pari handicap ? Lorsqu’une équipe a un niveau supérieur à l’équipe adverse, vous pouvez avoir recours au pari handicap pour :

• Soit donner une avance de points/buts à l’adversaire ;
• Soit donner un malus de points/buts au favori.

Les points/buts que vous ajoutez ou soustrayez aux équipes seront comptabilisés dans le score final et joueront donc un rôle capital dans l’issue du pari. Prenons pour exemple (et ce n’est qu’à titre d’exemple) un match Suisse – Italie dont le participant favori est la Suisse. Vous placez un handicap de 03 buts en faveur de l’Italie. Pour vous, le match commence avec une différence de 03 buts : Suisse 0 – 3 Italie. A la fin du match, la Suisse a marqué 02 buts : Suisse 2 – 0 Italie. Techniquement, c’est la Suisse qui a gagné, mais c’est sans compter le handicap que vous avez posé en début de partie. Puisque le handicap doit être compté, le résultat passe de 2 – 0 en faveur de la Suisse à 2 – 3 en faveur de l’Italie : (2 : 0) + (0 : 3) = (2 : 3) et donc Suisse 02 – 03 Italie. En pariant sur l’Italie, vous gagnez votre pari haut la main avec une cote élevée, car le favori était la Suisse. Comprenez bien que le résultat final qui compte pour vous comprend le score du match en plus du handicap.

Qu’en est-il du pari sportif handicap asiatique ?

Vous devez savoir qu’il n’y a pas que le pari sportif handicap classique que nous venons de voir. Il y a aussi le pari sportif handicap asiatique. Pour ce dernier, les règles sont un peu plus compliquées : pour ce type de pari, vous êtes obligés de parier sur des chiffres décimaux. Par exemple, vous ne poserez pas un handicap de 2 points, mais de 2.5 points. Vous ne pourrez pas miser sur des matchs nul, c’est-à-dire que vous ne pouvez pas gagner votre pari si l’issue de la confrontation est nulle. Par contre, même si vous ne gagnez rien, vous ne perdrez pas votre mise et vous serez entièrement remboursé, comme si le pari n’avait pas eu lieu. Ce dernier point est particulièrement intéressant, car le parieur en sort indemne et cela intéresse fortement toute la communauté des parieurs de sport.